Une boite contenant l’enfance...
... Pour reconstruire ce que l’âge adulte rend parfois invisible
Un jour, mon oncle m’envoya une vidéo, une cassette qui deviendra magique au fil du temps. Quand je la découvris, j’eu soudain le sentiment étrange de ressentir la petite fille que j’étais, une petite brune au regard espiègle jouant avec des cailloux et des bouts de bois, construisant un monde, comme le font les acteurs, comme le font les artistes. Mais c’est quand mon grand-père apparu ensuite à l’image, et avec lui toute la tendresse et l’amour qu’il me portait, que les émotions m’emportèrent.
Cette création rend hommage à la transmission et à l’amour, à l’importance des souvenirs et de leur récit, à l’enfance et son imaginaire. Dans ce quatrième spectacle pour la Cie, je continue d’arpenter le chemin de la mémoire, thème récurrent de mon travail, et par là même à toujours questionner le rôle de la transmission dans nos vies : que nous lègue-t-on ? Qu’est ce qui nous construit ? Comment reconstruire sur les ruines ?
En concevant ce spectacle comme une page ouverte d’un livre où souvenirs, imaginaires et réel s’entrechoquent pour former un tout qui résonne en chacun de nousn, j’ai choisi de partager avec vous les émotions retrouvées avec la cassette magique de mon enfance.
Sarah Carlini – Autrice, Metteuse en scène, Comédienne.
Une oeuvre intergénérationnelle
Nouchka a 4 ans, ses parents sont séparés et vivent à 15 000 Km de distance. Elle passe beaucoup de temps chez ses grands-parents. Lorsque que son grand-père est atteint d’alzheimer, Nouchka décide de se souvenir de tout pour tout lui raconter, pour plus qu’il oublie…
Une pièce à deux faces pour un voyage intérieur
Une petite fille nous fait vivre les 4 saisons de ses 5 ans au fil des saisons et des voyages qui l’ont rythmé : voyage initiatique spatio-temporel, voyage émotionnel rythmé de souvenirs et d’imaginaire, voyage sensitif porté par une composition poétique, auditive et visuelle, voyage expérientiel où l’intime et l’universel bousculent au grès de nos émotions. La petite Nouchka livre sa vision du monde et se livre sur ses découvertes, ses questionnements et ses retranchements. Elle nous embarque dans une phase de la vie dont on connaît l’impact aujourd’hui sur le parcours des adultes que nous sommes.
« Les 4 saisons de mes 5 ans » ouvre une porte vers l’enfance, ses rêves et son imaginaire et par là-même, nous permet de (re)tisser des liens avec nous-mêmes et les enfants qui nous entourent.
Une forme contemporaine
À partir d’une réalité dominée par le noir et blanc, la fillette compose une nouvelle partition où les couleurs s’accordent à ses rêves éveillés. Dans ce spectacle en technicolor, l’autrice nous propose de poser un double regard sur cette histoire de voyage, celui de l’enfant et celui de l’adulte.
Une oeuvre poétique et émouvante, remplie d’espoir. Une histoire comme prétexte à interroger le rapport secret que chacun de nous entretient avec son enfance. Un spectacle à la croisée du théâtre, de la musique et des arts visuels.
Une oeuvre intergénérationnelle
Nouchka a 4 ans, ses parents sont séparés et vivent à 15 000 Km de distance. Elle passe beaucoup de temps chez ses grands-parents. Lorsque que son grand-père est atteint d’alzheimer, Nouchka décide de se souvenir de tout pour tout lui raconter, pour plus qu’il oublie…
Une pièce à deux faces pour un voyage intérieur
Une petite fille nous fait vivre les 4 saisons de ses 5 ans au fil des saisons et des voyages qui l’ont rythmé : voyage initiatique spatio-temporel, voyage émotionnel rythmé de souvenirs et d’imaginaire, voyage sensitif porté par une composition poétique, auditive et visuelle, voyage expérientiel où l’intime et l’universel bousculent au grès de nos émotions. La petite Nouchka livre sa vision du monde et se livre sur ses découvertes, ses questionnements et ses retranchements. Elle nous embarque dans une phase de la vie dont on connaît l’impact aujourd’hui sur le parcours des adultes que nous sommes.
« Les 4 saisons de mes 5 ans » ouvre une porte vers l’enfance, ses rêves et son imaginaire et par là-même, nous permet de (re)tisser des liens avec nous-mêmes et les enfants qui nous entourent.
Une forme contemporaine
À partir d’une réalité dominée par le noir et blanc, la fillette compose une nouvelle partition où les couleurs s’accordent à ses rêves éveillés. Dans ce spectacle en technicolor, l’autrice nous propose de poser un double regard sur cette histoire de voyage, celui de l’enfant et celui de l’adulte.
Une oeuvre poétique et émouvante, remplie d’espoir. Une histoire comme prétexte à interroger le rapport secret que chacun de nous entretient avec son enfance. Un spectacle à la croisée du théâtre, de la musique et des arts visuels.
Un spectacle pour tous ...
Pour les adultes, cette création interroge la posture dans laquelle nous nous enfermons tout autant que nous nous laissons enfermer, malgré notre volonté de résister, d’adoucir, d’accompagner et d’aimer. En question ; la capacité d’écoute, le regard, la sensibilité, les ressources pour faire face aux difficultés de la vie. En perspective : notre rapport à l’enfance qui nous remet dans un enchantement émotionnel et nous permet de nous (re) découvrir à travers elle.
Pour les enfants, petits et grands, le spectacle se joue à plusieurs niveaux. Pour les plus petits, la mise en scène et la création musicale emportent l’adhésion tout en contribuant à nourrir leur imaginaire. Pour les plus grands, les thèmes abordés peuvent résonner avec leur propre histoire sans les heurter tout en ouvrant la porte d’un dialogue possible avec des adultes bienveillants.
Une création artistique au service de l’imaginaire ...
... Une mise en scène pour faire du spectateur un créateur
Sur un texte qui met en avant la possibilité de poétiser la vie pour la rendre plus douce, la mise en scène s’accorde afin de mettre en lumière ce qui fait le théâtre : la possibilité de créer des monde à partir de rien, d’inventer, de poétiser… Ici un piano devient voiture, un poisson guide touristique, un avion boite à cartoon… à partir de presque rien
les comédiens créent sous les yeux des spectateurs des espaces, mettent au travail l’imagination des spectateurs, afin que chacun deviennent acteurs de la partition.
« Il y a plus de choses sur cette terre et au ciel que vous et moi sommes prêtes à accepter.
Le possible et l’impossible ; le réel et l’imaginaire.
Nous choisissons de croire qu’il existe une frontière entre les deux. Cependant, cette frontière peut s’effacer. Les enfants naissent en le sachant. Peut-être devrions-nous cesser de chercher à les convaincre qu’ils ont tort. »
Extrait de « Le Merveilleux Pays des Snergs » de Veronica Conssanteli
Espace Scénique
Espace scénique minimum : ouverture de 5m, de profondeur de 4m de hauteur 3m.
Lieu extérieur ou intérieur (une salle de classe, une bibliothèque, un musée, un théâtre de poche, un coin de rue, un lieu où le temps n’a pas d’aiguille… )
Position du public : Arc de cercle ou frontal
Jauge Maximum : 100 personnes
Conditions techniques
Durée : 1H.
Représentations : 2 possibles dans la journée
Implantation de la régie : Derrière le public
Descriptif du matériel à fournir par le lieu
d’accueil : Possibilité d’autonomie totale sinon se référer à la technicienne
Coproductions
Communauté de communes Comtal Lot et Truyère, Bouillon Cube – La Grange, Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc.
Nos Partenaires
Le théâtre de La Maison du Peuple de Millau , scène conventionnée, Communauté de Communes Pays Segali, la Mairie de La Couvertoirade.
